Nourou Tourqui et son mari Said Youssouf sont passés dire merci pour la solidarité témoignée pendant ses longs mois de captivité


Je n’ai fait qu’exprimer, un peu plus souvent, le refus de milliers de citoyens de se résigner face à l’injustice.

Elle a promis, et son cher mari est témoin, de tout faire pour récupérer un peu du poids perdu.

Je lui ai avoué, qu’un jour en sortant d’une visite à l’hôpital de Mde, où elle était gardée, durant la plus grande partie de sa captivité, j’ai pleuré.
C’est peut être l’image de sa mère, toujours là, très digne, aussi captive qu’elle, qui a fait couler les larmes. L’amour le plus pur, prisonnier de nos égoïsmes politiques.

J’ai pensé à mon père chantant à ma mère et me disant : tant que nos mères sont vivantes, nous restons des enfants.

Merci Nourou, pour ton humanité et ton courage, durant cette épreuve.

Merci de me mettre à l’épreuve. Que vais je dire aux collègues de HaYba pour justifier cette moitié de gâteau au chocolat et les sambusa qui se sont envolés à mon insu ?
Ensemble nous continuerons de demander de SAST et Me Bahassane et de combattre pour un état de droit

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