Bye, bye très chers. Allez vous immerger

Bye, bye très chers. Allez vous immerger


On nous dit que le Président Azali dit au revoir ce matin à ses ministres.
Il est sûr que leur remplacement n’a pas été, n’est pas facile.
On nous a dit tout et son contraire. Tous balayés. Non, non pas vrai. Azali ne peut pas se faire trop d’ennemis alors qu’il a besoin de réunir pour les prochaines législatives.
Qui resterait ? Chayihane le fidèle ? Et le Secrétaire Général-Premier ministre ? Un Grand ministère de coordination qui l’éloignerait un peu du bureau de son oncle et ménagerait les susceptibilités des futurs ministres et éviterait de possibles frictions avec son cousin qui s’affermit de plus en plus comme le bras droit de papa ?
Msaidie Super ministre ? Ses fidèles sont dans les salles d’attente des cardiologues pour le cas où le Président demanderait au compagnon wa umana na huandzana de patienter. Pour eux ce serait tuer le chef qui s’est engagé contre vents, marées et contre de nombreux amis derrière le Colonel.
Saura t on aujourd’hui au moins 3 noms de femmes puisqu’on entend dire qu’on en veut 4 dans l’équipe ?
Et Souef, partant volontaire ? Non ? Architecte assistant du Président dans le recrutement de la nouvelle équipe ? Reste mais pas aux Étranges Affaires ?
Ce qui est sûr c’est que l’accouchement n’est pas, n’a pas été, aisée. En d’autres mots, la mouvance présidentielle, est d’une fragilité, d’une inconsistance, diront les contradicteurs, proportionnelle au résultat de la multiplication du coefficient d’égo de chaque chef-parti à la totalité des ambitions. Ne comptent que Et moi, et moi, et moi. En attendant un jour 2030.

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