Les Mamans, les 2 chauffeuse et Oubeid, toujours pas déférés au Parquet après les 48 h de garde à vue.

Les Mamans, les 2 chauffeuse et Oubeid, toujours pas déférés au Parquet après les 48 h de garde à vue.

Les 13 mamans en garde à vue, les 2 chauffeurs dont personne n’en parle et Oubeidillah Mchangama ont déjà passé plus de 48 h de garde à vue. La foule, composée de proches, de journalistes et de citoyens solidaires, présente au Tribunal de Moroni, compte les minutes, comme si elle se trouvait dans un pays démocratique où les procédures sont respectées. Seront ils déférés au parquet comme le veut la loi, ou pas. Ce matin, l’avocat qui assiste habituellement Oubeidi, devinerait plus facilement le poids et le design de la bague qu’Oubeid compte mettre au doigt de sa bien aimée le vendredi 6, que la probabilité de l’action du procureur concernant la procédure. On ne sait toujours pas le pourquoi de la garde à vue des 2 chauffeurs professionnels qui ont transporté les dames, ni pourquoi ces mères de famille et grand-mères qui ont manifesté pacifiquement doivent être traitées en délinquants dont on craint la fuite ou la violence ou la falsification de preuves si on les laissait libres. Et Oubeid d’Allah ? On convient que sa proximité avec des dames de l’âge de sa maman ne serait pas un péché de musulman sunnite à une semaine de son mariage. Aucune image de la manifestation ne montre le regard d’Oubeidi scrutant des matures rondeurs. On sait tous que si sa future Madame doit se contorsionner de jalousie, la vraie rivale sera le journalisme pour lequel (laquelle ? ) Oubeidi éprouve une passion brûlante. Mais même si le pouvoir a découvert qu’Oubeid est secrètement marié au journalisme, en quoi son deuxième mariage qui va être mdhwahirishé le djumwa qui vient est un délit ou un crime, dans un pays où les humains du sexe d’Oubeid ont droit à 4 passions aussi folles que celle d’Oubeid pour l’information ?
On murmure que des officiers de gendarmerie lui en veulent pour un reportage sur la destruction de l’annexe d’une maison par leurs agents.
Une consœur de la même secte des Fous et Folles du journalisme d’Oubeid, a pu rencontrer le chef de la Gendarmerie qui a démenti avoir porté plainte pour le reportage. Alors ?
Il est 14:45. Cela fait des centaines de minutes comptées par les citoyens qui sont au Tribunal de Moroni, depuis que les 48 heures de garde à vue sont dépassées. Ces citoyens veulent croire que dans notre pays on peut respecter les lois. Que l’amour de Oubeid pour sa première passion (chut, ne le dîtes pas à son amour de fiancée de Mitsamihuli) que la mobilisation des mamans pour les libertés citoyennes, que le fait de transporter des dames mûres passablement excitées pour l’état de droit ne devraient pas être des délits ni des crimes.

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