Oui le potentiel est là. A nous de le voir et le rendre visible.
Le stress qui faisait bouilloner Bel Afia Mohamed (à gauche) et Nazra Said Hassani avant l’émission s’évapora dès les premières minutes. Selon elles, il y avait de quoi, le post annonçant leur émission, la première pour Bel Afia et la deuxième pour Nazra, avait touché + de 15000 personnes.
Premières invitées de
l’émission Walezi wa Maudu, Bel Afia, 23 ans, et Nazra 24 ans, ont
défendu leur candidat Achmet Said Mohamed avec conviction et passion,
sans le langage éculé des notables de la politique.
La condition de
la femme fût analysée, très concrètement, appuyée par des statistiques
des dernières études des institutions internationales intervenant dans
le pays. L’inégalité de la jeune femme face au jeune homme de même
niveau de formation dans l’avancement au travail a été relevé. Elles
parlèrent avec émotion du soutien de la mère.
A la question,
pourquoi ce candidat et pas un autre, les auditeurs eurent droit à
différentes facettes du candidat Achmet : le fan fou des Cœlacanthes, le
scientifique entrepreneur qui accompagne ses étudiants dans la création
d’entreprises de transformation des ressources naturelles, le doyen
enseignant engagé dans la numérisation de la société, le porteur d’une
constitution qui rendrait notre pays stable et dynamique par une
décentralisation à la Suisse et un appareil d’étant compétant.
La diplômée en Finances de l’Université de Shanghaï et la Technicienne
de laboratoire, sortante de l’UDC ont choisi de faire se trémousser
leurs auditeurs par Tsihoro de Chamsia Sagaf et Shababi Mwenye Urango de
Bacar Dossar.
Après l’émission, Nazra ne se fait pas prier pour avouer ses ambitions présidentielles. Y a t il des hommes qui en rient ?
Djamila Ahamada, étudiante en Master de décentralisation sera demain jeudi 14 mars à 20h notre invitée, pour nous expliquer pourquoi elle croit en Soilih Mohamed Campagnard.