Les polices de village que nous voyons émerger ces jours-ci à Ngazidja sont illégales, dangereuses, nourrissent l’anarchie et finissent de désagréger l’état, contrairement à ce que leurs « chefs » affirment.
L’état doit d’urgence, organiser une concertation avec les autorités religieuses, coutumières et la société civile avant que des incidents, suivis de violences, ne dégénèrent et dépassent tout le monde.
HaYba Jumla Digital African Voice From Moroni