HaYba TRIBUNE LIBRE Nos Empreintes Sont les Livres de nos Vies

HaYba TRIBUNE LIBRE Nos Empreintes Sont les Livres de nos Vies

Il est indiscutablement prouvé que nos empreintes digitales soient nos identités uniques à chacun de nous. Cependant, on n’a pas encore découvert ce qui se cacherait derrière nos empreintes, alors qu’en théorie toute identité s’accompagne d’un ensemble de caractéristiques qui fait de l’entité identifiable et unique. Donc, dans les profondeurs de nos empreintes digitales, il doit y avoir l’enregistrement de nos histoires, nos vies, nos actions (bonnes et mauvaises, grandes et petites) enregistrées en un ensemble de caractéristiques qui nous définissent depuis la naissance jusqu’au moment de prise et d’examinassion des empreintes.

Notre incapacité actuelle à lire ces enregistrements/archives que portent nos empreintes ne dénote pas de l’inexistence de ces écrits et images que nos empreintes détiennent. Le Coran nous donne des indices qui nous permettent de croire qu’au dela de nos empreintes il y’a toute notre vie, et nos actions, bonnes et mauvaises, de la plus petite à la plus grande, au détail près. Et que c’est à partir de nos mains que nous lirons toute notre vie, nos actions, croyances, et les comparer avec les lois divines qui nous ont été envoyées par le Créateur à travers ses messagers. Une hypothèse qui me parait plausible et logique.

Le jour du jugement dernier, chacun de nous sera conduit par un ange de garde et accompagné d’un ange témoins, Surat 50, verset 21 : « Chaque personne viendra accompagnée d’un conducteur et d’un témoin ». Une fois ramener à sa place, l’individu sera mis à genou faisant face au livre saint ou aux lois divines qui lui ont été communiqués durant sa vie sur terre, Surat 45, verset 27 : « Et tu verras chaque communauté agenouillée. Chaque communauté sera appelée vers son livre. On vous rétribuera aujourd’hui selon ce que vous œuvriez ».

Le premier fragment de ce verset montre chaque personne agenouillée. Dans le texte original le fragment contient 12 lettres. En observant une personne agenouillée, affaiblie par la peur et le regret, ses mais ouvertes vers le ciel, comptant sur ses supplications pour s’en sortir cette épreuve, on peut facilement distinguer 12 parties de son corps : la tète, le tronc, les deux avant-bras, les deux bras jusqu’aux ongles, les deux cuisses, les deux jambes et les deux pieds. Et le numéro du verset (27) correspond au nombre d’os de la main. Est-ce une coïncidence?

Dans la Surat 17, le verset 13 dit ceci : « Nous avons enregistré le destin de chaque être humain ; il est attaché a son cou. Et au jour de la résurrection, Nous lui donnerons un enregistrement qui (lui) est accessible ». Dans le texte original, le deuxième fragment du verset contient 27 lettres, ce qui correspond aux 27 os de chaque main. Le verset suivant, verset 14 dit : « Lis ton écrit. Aujourd’hui tu te suffis d’être ton propre comptable ». Dans le texte original, on peut fragmenter le verset en trois parties ; les deux premières parties seront alors : « Lis ton écrit. Aujourd’hui tu te suffis ». L’ensemble des lettres de ces deux parties est de 20, ce qui correspond au nombre de nos doigts et orteils. Et le verset suivant, verset 14, est composé aussi de 27 lettres.

Est-ce une coïncidence ?Dans la Surat 78, le verset 40 dit ceci : « Nous vous avons avertis d’un châtiment proche, le jour où l’homme verra ce que ses deux mains ont avance ; et le dénégateur dira : « Comme j’aimerais n’être que poussière ». Le texte original du verset est fragmentable en trois parties. Les deux dernières parties, a partir de « le jour où l’homme…» jusqu’à la fin du verset nous avons 20 lettres dans chaque partie. Est-ce une coïncidence ?

Dans la Surat 84, les versets 7 et 8 nous disent: « Celui qui recevra son livre en sa main droite » (verset 7), « sera soumis à un jugement facile » (verset

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. Et le verset 10 et 11 nous disent : « Quant a celui qui recevra son livre derrière son dos » (verset 10), « il invoquera la destruction sur lui-même » (verset 11). Le verset 10 contient 20 lettres dans le texte original. Rappelons que les gens seront toujours agenouilles, leurs palmes du pied visible derrière eux ; alors les dénégateurs rêveront leurs registres sur leurs pieds qui seront visible durant leur agenouillement.

A travers ces versets, et d’autres encore à travers le Coran, nous ne pouvons qu’être convaincu que nos empreintes digitales portent aussi les empreintes de notre vie avec tout les détails de nos actions. Une fois encore la Surat 45, verset 29 nous livre ceci : « Voila notre livre/enregistrement. Il parle de vous en toute vérité » (20 lettres dans le texte original). « Nous enregistrions tout ce que vous faisiez » (20 lettres aussi dans le texte original). Les versets 22 et 23 de la Surat 50 nous disent: « Tu restais indifférent à cela. Voila que nous ôtons ton voile » (ces fragments ont 27 lettres dans le texte original); « ta vue est perçante aujourd’hui » (verset 22) ». L’être humain sera alors capable de lire ses propres empreintes, sa vie et ses actions en toute clarté. Le verset 23 continue : « Et l’ange témoins dira », (après avoir vu les mains/empreintes de son client): « Cela est copie conforme a ce que je détiens te concernant ».

La lecture des empreintes est référée dans le Coran pas seulement en verbatim, mais aussi mathématiquement en plusieurs façons. Par exemple, entre la Surat 17 et la Surat 45 nous avons 27 Surates qui les séparent (référence aux 27 os de la main droite suivant l’ordre d’écriture en arabe). Entre la Surat 45 et la Surat 50, nous avons 4 Surates qui les séparent (référence aux deux mains et aux deux pieds). Entre la Surat 50 et la Surat 78, il y’a 27 Surates (référence aux 27 os de la main gauche suivant l’ordre d’écriture en arabe). Entre la Surat 78 et la Surat 84, il y’a 5 Surates (référence aux cinq doigts de chaque membres).

Tous ces indices ainsi démontrés me permettent de croire que nos empreintes digitales sont des arbres qui cachent des forets. Que Dieu permette aux polices scientifiques de découvrir sur les empreintes les indices suffisants pour infirmer ou confirmer un suspect afin d’épargner aux innocents la prison par erreur. Amin.

Aboudou Mroivili

Citoyen Comorien

HaYba Jumla Digital African Voice from Moroni

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